1997. Comme évoqué dans un post précédent,
il y a eu cette année-là un certain nombre de films à succès ainsi que quelques événements
majeurs. Néanmoins, ce blog relate l’univers cinématographique et on pourrait aborder sans dénoter quelques événements « majeurs » dans l’univers des
séries télévisées :
- Alyssa Milano rejoint le casting de Melrose Place.
- Diffusée pour la première fois au Japon, la série animée Pokémon reprend et développe l'univers de la série de jeux vidéo du même nom.
- 13 août : un nouveau dessin animé nommé South Park lance son premier épisode de la première saison nommé Cartman a une sonde anale (Cartman Gets an Anal Probe en VO).
- Début de la série Buffy contre les vampires (partie pour 7 saisons).
- Début de Joséphine, ange gardien (16 saisons à ce jour, soit 78 épisodes, tu m’étonnes qu’on la voit tout le temps sur la TNT)
- 27 avril : ABC diffuse la mini-série Shining (en 3 parties, beaucoup plus proche de la version de Stephen King à mon goût et du sien puisqu'il a écrit, produit et supervisé la réalisation de celle-ci).
Mais revenons à Hollywood et les 2 films de cette cassette
127.
Les accords START mettent fin à cinquante ans de guerre froide. La Russie s'engage à désactiver
ses stocks d'armes nucléaires mais une dizaine de missiles russes sont aussitôt
volés. Le docteur Julia Kelly, responsable de la sécurité nucléaire à
Washington, se voit confier la direction des recherches. On lui adjoint un coéquipier
aux méthodes très personnelles mais efficaces, le lieutenant-colonel Tom Devoe.
Ensemble, ils réussissent à récupérer la quasi-totalité des missiles mais l'un
des terroristes, Vlado, s'échappe, emportant une ogive dans son sac à dos.
Ce film est intéressant à plus d’un point : c’est le
premier des studios DreamWorks, la musique est de Hans Zimmer (à l'origine des
musiques de Gladiator ou Pirates des Caraïbes par exemple), on trouve George
Clooney et Nicole Kidman au casting et c'est également le premier film
pour le cinéma de la réalisatrice Miriam (Mimi) Leder, qui officiait auparavant
sur la série Urgences (où l'on trouvait déjà George Clooney…).
J’ai l’impression que ce film n’a pas marqué les esprits mais
de mémoire, il n’était pas mauvais et son point fort est qu’il est très
plausible : nous sommes bien loin d’un gros film bourrin où le héros
(genre Bruce Willis) dégomme du terroriste à tour de bras: le terroriste n'est pas caricatural, les 2 héros se complètent et mènent une réelle enquête car trouver une personne seule et motivée est assez difficile. Enfin, le temps est un élément critique bien mis à l'écran.
Un parallèle peut être fait avec un certain Jack Bauer qui reprendra le thème un peu plus tard, c’est dire s’il est bien :)
Un parallèle peut être fait avec un certain Jack Bauer qui reprendra le thème un peu plus tard, c’est dire s’il est bien :)
Au XXIVe siècle, une fédération musclée fait régner sur la
Terre l'ordre et la vertu, exhortant sans relâche la jeunesse à la lutte, au
devoir, à l'abnégation et au sacrifice de soi. Mais aux confins de la galaxie,
une armée d'arachnides se dresse contre l'espèce humaine et ces insectes géants
rasent en quelques secondes la ville de Buenos-Aires. Cinq jeunes gens, cinq
volontaires à peine sortis du lycée, pleins d'ardeurs et de courage, partent en
mission dans l'espace pour combattre les envahisseurs. Ils sont loin de se
douter de ce qui les attend.
Autre film, autre ambiance… Starship Troopers est un des
films de référence du réalisateur Paul Verhoeven. Le scénario d'Edward Neumeier
est librement inspiré du roman de science-fiction Étoiles, garde-à-vous !
(Starship Troopers, 1959) de Robert A. Heinlein. Parmi tous ces premiers de la
classe, on retrouve entre autre Casper Van Dien, Dina Meyer, Denise Richards,
Neil Patrick Harris et Michael Ironside.
Ce film a été incompris par certains spectateurs ou critiques n’ayant pas de lecture
au 2ème degré de cette œuvre qui se présente comme une satire de la
guerre en utilisant l'ironie et l'hyperbole. Paul Verhoeven mélange les clichés
et les conventions de la propagande militaire, des sitcoms américaines pour
adolescents, des films de guerre et de science-fiction. Néanmoins, le film est
reconnu pour ses effets visuel : il est nominé (mais sans le gagner) pour
l'Oscar des meilleurs effets visuels à la 70ème cérémonie des Oscars
en 1998 face à Le Monde perdu : Jurassic Park et Titanic et le film
remporte le Saturn Award des meilleurs effets spéciaux.
Pour ma part, j’ai bien aimé ce film qui plus on le
visionne, plus on s’aperçoit de certains petits détails, pointes d’humour et de
message décalé genre « Les seuls bons parasites sont les parasites morts ! ».
Et par moment, c’est tellement gros qu’on ne se lasse pas. Tient, faudrait que
je le regarde une prochaine fois qu’il passera à la télé.
Aucun souvenir du Pacificateur. Par contre, Starship Troopers.. ça développe l'insetophobie !
RépondreSupprimerOui mais moins que la mouche (1986) ou Mimic (1997, tient, encore...) :)
RépondreSupprimerAllez, garde confiance en Baygon Jaune (pour les insectes volants) et Baygon Vert (pour les insectes rampants).